MON HISTOIRE
Je suis né sur une île surnommée l’île aux fleurs ou encore Madinina, une île située dans la Mer des Caraïbes, une île où l’on croirait faire bon vivre, mais pour moi ce fut un enfer, une enfance volée, emprisonnée, une adolescence happée, violée, brimadée, meurtrie, brisée... Mais que restait-il de moi lorsque, en 1999, je me suis échappé de ce lieu de torture.Je peux en être fier car je peux le dire haut et fort, j’ai sauvé ma peau. Arrivé en France en Août 1999 où pour la première fois de ma vie je quitte cette île qui pour moi était maudite je découvre “la Métropole” comme on dit, la France, ce grand pays avec ces quatre saisons bien distinctes les unes des autres. Je me rappelle encore que dans les premiers temps, lors de mon arrivée, je fus subjugué par le temps car à 21h30, ne voyant pas le soleil se coucher, je me demandais... mais sur quelle planète ai-je atterri... et puis je me mis à découvrir cette magnifique ville qu’est Paris. Paris, Ville des Lumières, Aaah... Paris la nuit... quel plaisir! on ne se lasse pas! car au détour de chaque rue se cache peut-être un trésor qui ne demande qu’à être immortalisé. Un conseil, ayez toujours vos appareils photos ou vos téléphones portables prêts à l’emploi, car sait-on jamais… Rendez-vous donc au bout de la rue …
RETOUR AUX SOURCES
Retour aux sources... Découverte de mon île natale en 2018, l’émerveillement dans ce jardin surnommée le Jardin de Balata. La Martinique île pleine de vie, sa faune et sa flore, cet écosystème fragile, ses couleurs... Je découvre qu’elle porte bien son surnom de l’île aux fleurs et sans oublier toutes ses odeurs, ses senteurs, ce parfum de paradis. Mes yeux s’illuminent quand je vois cette architecture coloniale, cette architecture créole. Quelle merveille ces petites maisons créoles se fondant dans cette verdure omniprésente sur île et ces anciennes plantations ! L’architecture, une des merveilles de l’homme moderne qui au fur et à mesure de son évolution aiguise sa créativité en matière de construction. Cela me pousse à immortaliser toute cette beauté, cette créativité qui fait la fierté de l’homme moderne.
LA MARTINIQUE
l’ile aux fleurs
L’ÎLE LOINTAINE
Je suis né dans une île amoureuse du vent
Où l’air a des senteurs de sucre et de vanille
Et que berce au soleil du tropique mouvant
Le flot tiède et bleu de la mer des Antilles.
Sous les brises, au chant des arbres familiers,
J’ai vu des horizons où planent des frégates
Et respiré l’encens sauvage des halliers
Dans ses forêts pleines de fleurs et d’aromates.
Cent fois je suis monté sur ses mornes en feu
Pour voir à l’infini la mer splendide et nue
Ainsi qu’un grand désert mouvant de sable bleu
Border la perspective immense de la vue
HISTOIRE DE LA MARTINIQUE
La première date de l’histoire officielle de la Martinique est l’arrivée sur l'île de Christophe Colomb, en 1502, le jour de la Saint-Martin.
LA MARTINIQUE PRÉCOLOMBIENNE
L’île est habitée depuis plus de 2 000 ans avant J.-C. Les Arawaks étaient présents environ 100 ans avant notre ère, avant d’être chassés par les Indiens Caraïbes.
Ces deux peuples étaient originaires du bassin de l’Orénoque dans l’actuel Vénézuela. La Martinique connait différents noms : Madinina, « l’île aux fleurs » ou Jouanacaera, « l’île aux iguanes ».
De 1502 À 1946
Christophe Colomb y débarque le 15 juin 1502, jour de la Saint-Martin. Puis les Français prennent possession de l’île en 1635. La cohabitation entre colons français et Indiens Caraïbes se caractérise par des périodes d’ententes et d’autres plus sanglantes. À la fin du XVIIe siècle, les Indiens Caraïbes quittent l’île. Les colons y développent la culture de l’indigo, du café puis de la canne à sucre sur la base de l’esclavage et la traite négrière.
COLONISATION EN MARTINIQUE
La Martinique est conquise en 1794 par les Anglais qui empêchent l’abolition de l’esclavage. Récupérée par la France suite au traité d’Amiens, l’esclavage y est maintenu par Napoléon. Des esclaves se ré1voltent pour que l’abolition de l’esclavage s’applique sans délais, ce qu’ils obtiendront dès le 27 mai 1848. Environ 23 000 Antillais et Guyanais partiront de Fort-de-France pour se battre en Europe durant la Grande Guerre de 1914-1918. La Martinique réclame dès 1938, par une résolution unanime, son assimilation en département français.
LA MARTINIQUE DE 1946 À NOS JOURS
La Martinique est un département français d’Outre-Mer, depuis la loi du 19 mars 1946 adoptée après des débats importants au Parlement. Le Général de Gaulle présente des décrets visant à renforcer les pouvoirs de consultation des conseils généraux des Départements d’Outre-Mer en mai 1960. Ces derniers voient leurs pouvoirs s’accroître dans le domaine législatif et réglementaire, ainsi qu’en matière financière. En 1982, la Martinique est érigée en région monodépartementale. En 2010, les Martiniquaises et les Martiniquais adoptent le référendum créant une collectivité unique. La Collectivité Territoriale de Martinique s’installe à la place du Conseil Général et du Conseil Régional. En 2010, les Martiniquaises et les Martiniquais adoptent le référendum créant une collectivité unique. La Collectivité Territoriale de Martinique s’installe à la place du Conseil Général et du Conseil Régional.
LE MADRAS TISSU AUX COULEURS DES ANTILLES
Un peu d’histoire donc de ce tissu qui prend une place particulière dans le monde de la mode. Un tissu qui franchit les époques et les frontières. Le Madras. Le Madras est une étoffe dont la chaine est de soie et la trame de coton, de vives couleurs, et qui est ainsi nommée parce qu’elle a été fabriquée à Chennai, ville d’Inde qui s’appelait anciennement Madras. C’est dans ce petit village de pêcheurs que le madras était fabriqué artisanalement à partir de fils de bananiers teints. Mais les artisans ont vite constaté que le fil du bananier était cassant et filant et ont eu l’idée de le mélanger avec du coton, un matériau plus solide, puis de le remplacer complètement par celui-ci. S’il est né en Inde au 17ème siècle, il est admis que le madras est à son origine hérité de la tradition vestimentaire issue de la mode africaine de plus qu’il est souvent associé à la tenue traditionnelle des Antilles françaises de la Guadeloupe, de la Martinique, de la Guyane et des Caraïbes. Il faut savoir que le madras a fait son apparition aux Antilles lors de l’abolition de l’esclavage, ensuite s’est peu à peu démocratisé en touchant d’abord les femmes blanches puis il était adopté à la moitié du 18ème siècle par les femmes noires à la peau de qui les couleurs vives rouges, jaunes et vertes se prêtent parfaitement ! Avec cette base de trois couleurs, le tissage varie à l’infini pour donner des résultats variés. Tout un symbolisme aussi de cette mosaïque illustrant l’histoire de la composition ethnique des sociétés créoles ayant connue un large métissage de populations ! Le Madras s’est ancré dans la culture du peuple ; et voilà les Antillaises qui se permettent de porter des tenues créoles hautes en couleur de la tête au pied, toujours à la palme de la mode créole et de l’élégance. Souvent orné de dentelle blanche et de broderie anglaise ou antillaise, le madras se fait dès lors porter lors de grandes occasions, de grandes fêtes, bals, mariages, communions, baptêmes, pour un diner chic, une visite familiale, pour recevoir à la maison.
galerie photoS
PARIS
LA VILLE DES LUMIERES
Paris … capitale de ma chère France. La ville qui fait rêver les étrangers. Aux abords de ses cafés et autres bistreaux, sur les bords de sa Seine où les ginguettes bas leur plein, sur ces rives enchantées longés de petites boites verte renfermant des merveilles sans et sans oublier sa Dame de fer parée de ses plus beaux atouts sans Elle Paris ne serait pas Paris.
Paris. c’est aussi ses luminaires…
Place de l’Hotel de ville Paris 2023
Luminaire gare des Invalides 2023
Place de l’Hotel de ville Paris 2023
REGARD SUR PARIS MA VILLE D’ADOPTION
Vue du pont Garigliano 2022
passage du RER C pont Bir Hakem 2022
La tour Eiffel 2022
Métro station Saint d’Estienne d’Orves 2022
LE JARDIN DES TUILERIE
Le Louvre vu de son jardin des tuillerie Paris novembre 2022
decembre 2022
Place de la Concorde vu du jardin des Tuilerie 2022
Le Louvre sous la pluie. L’Homme au parapluie 2022
LA DEFENSE
Quartier d’affaire où l’Art y a aussi sa place
Bassin - Vassilakis Panayotis, dit Takis 2022
Takis a imaginé une surface aquatique, d'une cinquantaine de mètres de côté, sur laquelle sont posés 49 feux lumineux multicolores de hauteurs différentes (entre 3,50 et 9 mètres) semblant être montés sur ressort. Parfaitement intégrés à la perspective de l’axe historique, visibles depuis l’Esplanade et depuis Neuilly, ces feux, de formes géométriques colorées, clignotent et se balancent dans un ballet ludique et enchanteur.
BORDEAUX
LE PETIT PARIS
Bordeaux ville chargée d’histoire. L’histoire de Bordeaux est liée à la conjonction de plusieurs facteurs géographiques et politiques. Burdigala est fondée au I er siècle av. J.-C. par les Bituriges Vivisques, peuple gaulois de la région de Bourges qui contrôlait, depuis le port intérieur, le trafic de l'étain amené d'Armorique et de Bretagne (Grande-Bretagne, Cornouailles). Cette position de ville à dimension européenne sera confirmée par la République Romaine. Deux mille ans d'histoire partagée ont fait de Bordeaux la capitale mondiale du vin. Gâtés par une géologie et un climat favorable mais soumis aux aléas de l'histoire et de la nature, les Bordelais ont, à chaque époque, su saisir la chance qui allait les guider sur le chemin de la réussite : politique, économique, commerciale ou technologique. De Burdigala à Bordeaux. Le 18e siècle : siècle d'or et système colonial. Bordeaux connaît son second apogée du milieu du XVII e siècle jusqu'à la Révolution française. Cette prospérité provient à nouveau de son port, qui va devenir le premier port du royaume. Ainsi, la ville compte 40 000 habitants en 1700, ce qui en fait l'un des centres urbains les plus importants du royaume La ville commerce le vin, mais aussi le sucre colonial et les esclaves. Elle est la cinquième ville de France derrière Paris, Marseille, Lyon et Lille, mais devant Toulouse. Son aire métropolitaine, l'agglomération de Bordeaux, compte 1 363 711 habitants (2019). Bordeaux est parfois surnommée « la Belle Endormie » en référence à son centre historique et à ses nombreux monuments jusqu'à récemment peu mis en valeur. Pourtant, Bordeaux s'est « éveillée » depuis quelques années et, en juin 2007, toute une partie de la ville, le Port de la Lune, a été inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO pour l'ensemble urbain d'exception qu'elle représente. La ville est connue pour son vignoble, notamment depuis le XVIII e siècle, qui représente son âge d'or. Ancienne capitale de la Guyenne, Bordeaux fait partie de la Gascogne, dont elle est proche de la limite avec les Landes de Gascogne.
Bordeaux 2023 Le pont de Pierre
Rue de Bordeaux 2023
VANNES
LE CHARME BRETON
Capitale du Morbihan devenue ville d’Art et d’Histoire, la vielle-ville de Vannes est un lieu idéal pour les promeneurs et les amoureux d’architecture médiévale. Enfermée dans ses remparts et regroupée autour de la cathédrale Saint-Pierre, elle est aujourd’hui une zone piétonne qui abrite un remarquable quartier historique. Fondée dès la conquête romaine de la Gaule, Vannes ne se développe vraiment qu’à partir du 14e siècle, période durant laquelle elle est choisie par le Duc Jean IV pour être la capitale du Duché de Bretagne. À l’abri de ses remparts et autour de son activité portuaire développée, elle s’épanouit avec force et noblesse. Aujourd’hui comme hier, on entre dans la vieille-ville par la Porte Saint-Vincent.
Vannes 2023
vannes Place Henri IV 2023
Vannes sculpture sur bois.
Devanture de magasin 2023
Vannes. Porte fenêtre entrouverte 2023
Vannes. rue piétonne 2023
Vannes. Porte fenêtre 2023
VANNES et ses fenetres
La BOLIVIE
février 2016
Las salinéas
La Bolivie source de couleurs
La Bolivie, saturée de couleurs, de fêtes où s’entremêlent rites précolombiens et chrétiens, de paysages grandioses aux ciels d’une rare pureté, c’est vraiment l’Amérique latine telle qu’on se l’imagine.
Le trésor des mines d’argent de Potosí, qui finançait les expéditions à la recherche de l’Eldorado, y a façonné des villes au baroque triomphant.
En contrepoint s’étendent les grands espaces de l’Altiplano et de l’Amazonie ; la géométrie étale du salar d’Uyuni éclatant de blancheur ; le gigantisme haut perché du lac Titicaca ; les sommets somptueux de la cordillère Royale et les volcans du parc Amboró.
La Bolivie, c’est aussi un peuple, des peuples plutôt. Indiens quechuas et aymaras, métis, descendants d’esclaves… Le pays vit au rythme de l’Amérique latine bien réelle d’aujourd’hui, écartelée entre un art de vivre ancestral et les pressions du grand marché mondial.
Ancien couvent Bolivie 2016
SAJAMA
PARC NATIONAL BOLIVIEN
LE DÉSERT DU SUD LIPEZ BOLIVIE
Ma galerie photo
Suite
Maisons colorées à Santiago de Chili
Regard sur la mode
jardin des tuilerie 2023
Place de l’hôtel de ville Paris IV 2023
Quelque part dans les Alpes
Le Machu Picchu PEROU 2016
Sur les hauteur du Machu Picchu PEROU 2016
La vallée des Merveilles dans les Alpes 2018
Refuge la vallée des Merveilles dans les Alpes 2022
MES REALISATIONS
MES POLARDS
L’hotel abandonné
le ranch abandonné
Freedom
Prisme
Mes autres compositions
Le Sanctuaire
La Maison aux mille et une fleurs
MES OEUVRES
Las Palmas de Grand Canaria décembre 2022
Las Palmas de Grand Canaria février 2023
Portrait de Précius décembre 2018
Portrait de Précius 2019